komi fiagan DOGBLE

Amour! l’histoire de Létie! l’amour face à la confiance

Il y a deux mois, à la question de savoir si Aimer équivaut à faire totalement confiance, Létie te répondra tout de go « bien sur que oui » Puisqu’en ce temps, elle vivait niaisement et fiévreusement, une relation qu’elle jugeait amoureuse.

Létie aimait Math,  et lui faisait tout.  Puisque, Létie venait d’une famille aisée et Math loin d’être pauvre avait de difficultés souvent à joindre les deux bouts et Létie était son recours à ces moments de vaches maigres. Et Math lui se contentait de prendre sans broncher et les seuls mots qui sortait de sa bouche ne fond que flatter, charmer et promettre la Bague.
Sur un commun accord, un jour de pluie, Létie sacrifia sa virginité sur l’autel d’une relation à perpétuité. Au même moment, Yao l’ami qui faisait tout pour ravir son cœur attendait sous le balcon de la chambre où se faisait niquer l’élue de son cœur. Vraisemblablement, l’amour honnit. Comme un homme mieux un lâche, Yao attendit Létie, lui à la maison qui fut son bon de sortie.
Tout allait pour le mieux quand un jour, elle décida de son propre chef de retourner voir sa belle-mère qui habitait dans une ville voisine. La dame visiblement surprise, voulait savoir si elle était toujours avec son fils. « OUI maman » répondit-elle. la Belle-mère lui confessa image à l’appui qu’il a une femme et un enfant. « Tu feras de le quitter » renchérit-elle. La voix tremblante, les yeux coulants, Létie revient à Lomé la mort dans l’âme. Si seulement j’ouvris un peu les yeux?

Selon vous, quelles sont les erreurs de Létie? Le doute est-il toléré en amour?


Togo! Bénin affaire d’assassinat du président une politique à la togolaise.

 

Pour les uns, c’est l’atteinte à la sureté de l’État pour les autres c’est une tentative d’assassinat du président de la république. la finalité fut l’élimination d’un ennemi politique, souvent des amis connaissant ses secrets devenus ennemis. Qu’il soit une atteinte à la sureté ou une tentative assassinat, pour  eux, c’est un complot et comme au Togo,  des adversaires potentiels seront emprisonnés donnant ainsi du zèle à leur politique dénudée de franches négociations.

Tel que sera l’aveu des accusés, comme toujours au Togo le gros des béninois ne croirons jamais.

Image de Rfi et de AfriScoop

 


Togo ! Afrique du sud 2013 le Togo se qualifie! les rues engourdies et le plaisir mitigé

Accroché à l’aller chez eux à Libreville un but partout, le Gabon s’était rendu à Lomé pour damer les pions aux éperviers nationaux, au pire leur rendre la monnaie de leur pièce. C’est sans compter sur nos joueurs décidés à donner la joie aux supporteurs, lesquels attristés par des années de crises  à la fédération et des drames de tout ordre comme celui de Cabinda.

La mobilisation fut totale tant au niveau des autorités, des joueurs qu’au niveau des supporteurs qui envahissaient le stade de Kégué malgré le prix du billet un peu corsé.

Le match fut maitrisé de bout en bout par les éperviers, qui se sont ragaillardis par le retour en sélection du gardien titulaire de Reims AGASSA kossi.

Finalement,  le Togo sortit victorieux  par un score de 2 buts à 1, avec une réalisation du capitaine Emmanuel ADEBAYOR.

Juste, après le coup de sifflet final, les rues de la capitale se bourrèrent d’hommes. Chose logique. Mais que dire, des voitures et des taxis motos « zémidjan » qui conduisent à toute allure, d’autres qui se mettent debout sur leur moto pour exprimer leur joie? Que dire de ses responsables qui boivent jusqu’au petit matin et de retour sur leur engin se tuent pour rien ?

Seulement une petite heure après le match, on dénombra déjà 6 blessés tous des jeunes exprimant leur euphorie.

Ainsi, chaque fois qu’une joie devrait meubler nos quotidiens tristes, fallait encore faire preuve d’ignorance pour perdre à ses proches ce plaisir partagé?

Prudence et tempérance sont les mots d’ordres. Car, comme la vie, toute joie est éphémère  mais sache que la joie l’est encore plus.  Et se sont des milliers de joies qui font une vie.

 

 

 

 


Togo ! La rentrée scolaire 2012-2013 les enseignants vacataires et volontaires espèrent mieux que des aides

Ce lundi le 08 octobre, sur toute l’étendue du territoire, des milliers élèves du primaire et du secondaire ont rentré pour le compte l’année scolaires 2012-2013, et avec eux, leurs enseignants. Parmi ces derniers, des centaines sont des vacataires, et des volontaires. Les majorités de ces enseignants non rémunérés, sont issus des Ecoles d’Initiatives Locales (EDIL), qui sont à majorité récupérées par le gouvernement. Ceci facilita énormément la tâche à la population, qui n’aura plus en charge la mensualité de ces enseignants dits volontaires.

Mais, triste est de constater que tous ces enseignants non reconnus par l’Etat, sont laissés à la charge de leur école respective. Le problème se pose avec acuité au niveau du cours primaire, où en 2010 la gratuité de l’école primaire fut décrétée, empêchant ainsi la collecte de la cotisation parallèle, laquelle servait à payer les enseignants volontaires et vacataires.

Suite aux menaces de boycotte de travail et vu leurs importances sur le terrain, le gouvernement a décider  l’année scolaire passée, de leur attribuer une aide de 90 000 f CFA en vue d’une prochaine révision de statut et d’un éventuel recrutement dans la fonction publique. Tous, dans l’espoir de ce recrutement prochain ont regagné leur classe avec des effectifs pléthoriques dépassant bien souvent cent(100) élèves par classe.

Cher lecteur, vous n’êtes pas sans savoir que du jeudi le 04 au samedi le 06, les agents du Togo Télécom ont décrété une grève de 48h et exigent une augmentation de salaire de 30%. Eux qui sont pour nous mieux lotis. Entre les agents du Togo télécom et  les enseignants qui sont plus à plaindre ?

   

 



Togo mort d’hommes ! Écroulement de quatre étages en construction ! À qui la faute ?

 

 

 

 

 

 

 

 

Hier très tôt, vers trois(3) heures du matin, les habitants d’Adidogomé, banlieue située au nord ouest de Lomé, se sont réveillés par un bruit assourdissant et dans une nuée de débris. Nous nous dirigeâmes vers le lieu de l’émanation et triste est constaté,  l’écroulement de lui-même d’un bâtiment de quatre(4) étages avec sous sol.  Il fut constaté la mort de deux(2) personnes et On dénombra le même nombre de blessés. Toutes les victimes étaient des occupants et travailleurs de cet immeuble en construction. Prise de peur, des questions un peu partout fusent de la bouche de l’assistance. On eut tardivement, la visite du ministre de la sécurité nationale qui veut servir d’écho  aux questions pour le gouvernement. Les plus récurrentes questions furent : à qui la faute ?  Le gouvernement va-t-il poursuivre cette affaire ? Les parents des victimes vont-ils porté plainte?  Aura-t-il une loi pour réglementer la mise en place des bâtiments de cet ordre ? Et s’il en existe une, à quand son application ? Pour cette population, ces questions restent pour le moment sans réponse .

Mais sachons que, dans notre société, plusieurs sont les architectes et les professionnels du bâtiment qui font du racolage sur les matériaux de construction ; qu’ils soient des fers à béton, du ciment, lesquels matériaux tant indispensables à la résistance des bâtiments.

Cher compatriote, comme s’informer c’est se former, surveille bien sur ton chantier de construction, afin que sur ta tête ne s’écroule ta gîte.